Qu’est-ce qui a changé ?

Chaque association provinciale de boulingrin aura une inscription, à l’exception du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard, qui se qualifieront à partir d’une seule zone de qualification des Maritimes. Au besoin, les concurrents du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard pourraient jouer ensemble au sein d’une même équipe. Cela signifie qu’il y aura huit équipes pour le championnat national.

Une équipe provinciale sera composée de :

  • 5 à 10 femmes pour jouer les quatre disciplines (simple et à quatre, paires et triple). Les simples et quatres seront joués simultanément. Les paires et les triples seront joués simultanément. Les concurrents des provinces qui envoient une équipe de cinq joueurs auront la possibilité de jouer dans deux disciplines.
  •  5 à 10 hommes pour jouer dans les quatre disciplines (simple et à quatre, paires et triple) Les simples et quatre seront joués simultanément. Les paires et les triples seront joués simultanément. Les concurrents des provinces qui envoient une équipe de cinq joueurs auront la possibilité de jouer dans deux disciplines.
  •  2 Jeunes U21 (1 homme + 1 femme); Para boulingrin (en tant que nouvelles disciplines, les événements para nécessiteront des solutions modifiées pour assurer la participation et l’équité dans les diverses classifications).

Les associations provinciales de boulistes choisiront la façon dont elles qualifieront leurs équipes. Les associations provinciales qui choisissent le format à cinq joueurs pour les simples, quatres, paires et triples pourront organiser leurs éliminatoires de qualification en une seule fin de semaine en se basant sur un modèle fourni par l’association nationale. Les associations provinciales qui ne souhaitent pas envoyer une équipe à cinq devront organiser quatre qualifications individuelles pour ces épreuves. Chaque association décidera la date de l’événement en fonction de ce qui convient le mieux à son calendrier, à condition qu’elle respecte les dates limites d’inscription fixées par BCB.

Pourquoi ce changement ?

Huit est généralement un chiffre magique pour les tirages de boulingrin, la majorité des terrains extérieurs au Canada ayant huit allées de jeu. Le nombre dix, actuellement utilisé jusqu’en 2023, provient du fait que les dix membres provinciaux originaux de Boulingrin Canada avaient chacun une inscription. Lorsque Terre-Neuve-et-Labrador s’est retirée de l’événement, on a fait en sorte que l’Ontario devrait recevoir une deuxième inscription, car à l’époque, son nombre était plus que deux fois plus grands que toute autre association provinciale.

Aujourd’hui, nous constatons qu’un certain nombre de nos petites provinces ont de la difficulté à envoyer des équipes complètes à sept événements distincts, ce qui entraîne un nombre écrasant de

deuxièmes inscriptions (ou d’équipes B). Cela indique qu’un bassin de 16 inscriptions représentatives des associations provinciales n’est pas réaliste.

Un format ouvert n’a pas été envisagé en raison des résultats du Championnat national ouvert de simple qui s’est déroulé de 2013 à 2017. Cette formule a finalement été abandonnée, car le nombre d’inscriptions en provenance de tout le Canada diminuait d’année en année, jusqu’à ce qu’il devienne davantage un événement régional basé sur l’emplacement qu’un événement national avec une représentation de tout le pays. Les données de l’enquête auprès des participants des dernières années indiquent que les joueurs canadiens souhaitent participer à des compétitions dans un format à la ronde. Le fait de devoir jouer contre toutes les équipes offre une meilleure chance de voir un véritable champion émerger de la compétition, mais cela garantit également un minimum de parties pour justifier le coût du déplacement à travers un pays aussi vaste que le Canada. La réduction du nombre de championnats, d’événements et de participants signifie que les coûts pour les associations provinciales des boules sont également considérablement réduits. Cela signifie que plus de fonds sont disponibles pour d’autres événements tels que les compétitions régionales, les festivals, les camps de développement, etc.